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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/66

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LA TENDRE CAMARADE

cailloux que vous tenez emprisonnés au creux de votre main délicate et ramenez-moi sur la terre avec tous mes fils auxquels ne tiendront plus que les peaux mortes de mes ballons éclatés. »

Aline retira doucement sa main, non pour lancer une pierre, mais pour mettre ses gants.