Aller au contenu

Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/94

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
84
LA TENDRE CAMARADE

homme aux mains chargées de grosses bagues m’offrit 100 francs dans un café pour que j’entre dans une maison. Il me montrait le billet de 100 francs et il faisait apporter sans cesse des consommations en me vantant la vie heureuse que j’allais mener.

À côté de ce danger, ni la police, ni l’homme qui m’a poursuivie, un soir, un couteau à la main, ni ma fièvre typhoïde ne furent rien.