Aller au contenu

Page:Maindron - Dans l’Inde du Sud.djvu/178

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


VIII

PONDICHÉRY : La bayadère de Tanjore.


3 juillet 1901.

Sandirapoullé m’a outrageusement trompé. Ce n’est point la renommée bayadère de Tanjore que j’ai vue danser chez lui, mais les petites de la pagode de Villenour. Malgré la présence de Soupou, que sa qualité d’homme du monde condamne à être de toutes les fêtes, nous nous sommes enfuis, Paul Mimande et moi, simulant un mal de tête aussi violent que subit. La femme de Sandirapoullé, belle et jeune Indienne qui pourrait être son arrière-petite-fille, ses deux fils, nous ont en vain retenus. Nous courons encore. Notre regret a