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Page:Mallarmé - Les Poésies, 1899.djvu/70

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Car tu voulais, je crois, me toucher, sont un jour
Qui ne finira pas sans malheur sur la tour..
O tour qu’Hérodiade avec effroi regarde !

N.

Temps bizarre, en effet, de quoi le ciel vous garde !
Vous errez, ombre seule et nouvelle fureur,
Et regardant en vous, précoce, avec terreur ;
Mais pourtant adorable autant qu’une immortelle,
O mon enfant, et belle affreusement et telle
Que..

H.

Que.. Mais n’allais-tu pas me toucher ?

N.

Que.. Mais n’allais-tu pas me toucher ? … J’aimerais
Etre à qui le Destin réserve vos secrets.

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