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DES MATIÈRES

Le nomme gouverneur de Madras, 167. Décide de chasser les Anglais du fort Saint-David, 168. Est forcé de donner le commandement à de Bury, 170. Envoie Dordelin sur la côte, 173. Fait des ouvertures à Anwaroudin, 173. Ne réussit pas à surprendre Guddalore, 174. Envoie Dordelin à Goa, 174. Sa méprise fatale en apparence, 175. Nomme Paradis au commandement, 175. Son inexplicable inaction, 177. Ses conséquences, 177. Perplexités, 178. Il envoie Dordelin aux îles, 178. Tente encore de surprendre Guddalore, 180. Est repoussé, 181. Se fortifie encore contre une attaque, 182. Sa douleur à la mort de Paradis, 187. Prend sur lui la conduite de la défense, 188. Son habileté, 188. Force Boscawen à lever le siège, 189. Annonce par toute l’Inde son triomphe, 191. Est forcé de rendre Madras, 192. S’allie avec Chunda-Sahib et Mozuffer-Jung, 198. Exhorte le première marcher sur Trichinopoly, 201. Avances qui lui sont faites dans ce but, 205. Remontrances, 207. Ses plans sont déjoués, 208. Malgré ses perplexités il en prépare d’autres, 209. Mortification que lui cause la conduite de son aimée, 212. Punition de ses officiers, 213. Intrigue avec les chefs indigènes, 213. Ordonne des mesures énergiques, 214. Envoie une expédition à Mazulipatam, 215. Négocie avec Nazir-Jung et ses chefs, 222. Envoie des ordres précis à de La Touche, qui arrive trop tard, 224. Sa joie de la victoire de Latouche, 224. Est visité par Mozuffer-Jung, 227. Fonde une ville, 230. Est disposé à la paix, 230. Négocie avec Mahomed Ali, 231. Décide d’envoyer de Bussy dans le Décan, 233. Ses acquisitions de Salabut-Jung, 234. Sa grande position, 234. Sa politique, 235. Est dupe de Mahomed Ali, 237. Envoie un corps, contre Trichinopoly, 237. Envoiedes hommes contre Arcate, 247. Sa politique bien entendue, 249. Sa mortification devant les victoires de Glive, 255. Sa colère contre Rajah-Sahib, 255. Ses instructions graphiques à Law, 256. Sa colère en apprenant la sottise de Law, 261. Son étonnement encore plus grand, 262. Envoie d’Auteuil pourreprendre le commandement, 263. Sa conduite en apprenant la capitulation de Law, 275. Négocie avec les alliés indigènes des Anglais, 276. Réussit à en gagner deux, 277. Ses plans pour détruire Kinneer, 278. Capture une compagnie de mercenaires suisses, 279. Est solennellement nommé nabab du Garnate, 279. Nomme Rajah-Sahib et ensuite Mortiz Ali comme son lieutenant, 280. Est créé marquis, 280. Envoie des forces pour bloquer le fort Saint-David, 280. Gagne l’alliance des Mysoriens et des Mahrattes, 282. Sa position à la fin de la campagne, 282. Ses desseins sur le Décan, 293. L’excuse de sa politique, 295. Ses ordres prompts à de Bussy, 311. Triomphe de sa politique, 314. Moyens dont il pouvait disposer, 318. Envoie Astruc à Trichinopoly, 322. S’efforce d’obtenir la paix, 334. Fait des propositions dans ce but à Saunders, 335. Sa secrète confiance dans la fortune de la guerre, 336. Coup fatal porté à ses vues, 339. Rouvre les négociations, 359. Ne veut pas abandonner ses prétentions, 341. Sa funeste méprise, 342. Il envoie des renforts à Mainville. 343. Est accusé d’être la cause des hostilités, 347. Est remplacé par Godeheu, 348. Son erreur sur Godeheu, 348. Conduite de celui-ci envers Dupleix, 348. La générosité de Dupleix, 349. Injustice dont il est l’objet, 351. Résultats probables de sa politique s’il avait été soutenu, 352. Sa réputation, 353. Il retourne en France, 354. Il y est ignominieusement traité, 355. Ses dernières paroles, 355. Sa mort et sa place dans l’histoire, 350. Sa supériorité sur tous ses compatriotes dans l’Inde. 482.
Duquesne. Commande les recrues françaises contre Trichinopoly, 205. Adopte de vigoureuses mesures contre Tanjore, 207. Meurt, 208.
Durre. Traverse tous les plans de Lally par ses lenteurs, 465.
Duvalaer. Envoyé à Londres pour négocier de la paix, 346.
E
Elmiseram. Occupé par Law, 204. Pris par Dalton, 266. Occupé par les Français, 455. Seconde occupation, 455.
Ellore. Cédé aux Français, 313.