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Page:Marais - La Maison Pascal.djvu/12

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du tout ce que ces messieurs croyaient, oh ! pas du tout !

Et cela avec des œillades agréables, des réticences ambiguës qui laissaient comprendre que l’on n’était pas précisément offusqué que la Maison fût prise pour… une autre ; mais, que l’on regrettait — oui, c’est cela — que l’on regrettait véritablement de ne pouvoir satisfaire ces messieurs…

Si bien que les trois jeunes gens, abasourdis, s’en étaient allés aussi perplexes, aussi indécis qu’auparavant, sur le compte de cette habitation douteuse. Bientôt, ils avaient raconté, par la ville, que l’on se méprenait absolument en supposant la Maison Pascal un établissement ad usum… Hum !… Mais qu’il y avait tout de même quelque manigance interlope là-dessous.

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Depuis six semaines, la Maison Pascal excitait la curiosité des habitants de Montfleuri-les-Pins.

Montfleuri-les-Pins ?… Ne cherchez pas. C’est une petite cité du pays latin, parfumée de