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Page:Marguerite de Navarre - L’Heptaméron, éd. Lincy & Montaiglon, tome IV.djvu/299

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DU TOME SECOND


QUATRIÈME JOURNÉE

PATIENCE DES DAMES POUR REGAGNER LEURS MARIS
ET PRUDENCE DES HOMMES POUR SAUVER L’HONNEUR
DE LEURS MAISONS.

PROLOGUE

Page 289, lignes 13-4. — « J’ay une femme ; je n’y puis aller si tost ». Uxorem duxi, & ideo non possum venire ; Lucæ XIV, 26. — M.

Page 290, ligne 15, & 291, ligne 3. — « La leçon », la lecture, lectio. — M.

Page 290, ligne 17. — « Pour étudier leur rolle », ce qu’ils avaient à dire & à raconter, de rotulus, volumen & rouleau, c’est-à-dire un livre. — M.

XXXI. — Cruauté d’un Cordelier envers une Demoiselle & destruction du Couvent.

De 1494 à 1519. En Flandre. — L.

Page 293, lignes 5-6. — « Aux terres subjectes à l’Empereur Maximilien d’Autriche ».

Bien qu’il soit dit à la fin du Prologue de la Quatrième Journée que cette Nouvelle a été racontée par M. de Saint-Vincent, Ambassadeur de l’Empereur Charles-Quint, comme un fait arrivé récemment, il est certain qu’on trouve dans nos vieux conteurs un récit tout à fait pareil. Nous nous contenterons de citer un fabliau de Rutebeuf intitulé : Frère Denise (Œuvres de Rutebeuf, t. I, p. 260, 2 vol. in-8o ; — Fabliaux de Legrand d’Aussi, vol. IV, p. 383 ; — Recueil complet des Fabliaux, III, 1878, 253-4). Le no  LX des Cent Nouvelles nouvelles a aussi quelque analogie avec cette aventure. Le récit de la Reine de Navarre a été reproduit par Henry Estienne dans