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Page:Marguerite de Navarre - L’Heptaméron, éd. Lincy & Montaiglon, tome IV.djvu/349

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DU TOME TROISIÈME


HUITIÈME JOURNÉE

FOLIES DANS LESQUELLES ON NE DOIT PAS TOMBER.

Page 305, lignes 8-9. — D’ont chacun se peut adviser. Où (de unde) chacun peut devenir plus avisé, plus sage. — M.

Prologue, page 307, lignes 7-8. — Si leur pont s’advançoit fort. Le pont du Gave de Béarn dont le travail devait durer dix à douxe jours & dont il est question dans le Prologue général, I, p. 242-3. — M.

LXXI. — La femme d’un Sellier d’Amboise, malade à la mort, revient à la vie de colère en voyant son mari caresser leur chambrière.

Après 1527. A Amboise. — L.

Page 311, lignes 6-7. – « En la ville d’Amboise y avoit ung scellier nommé Brimbaudier. »

Cette Nouvelle a été imitée par Noël du Fail de La Hérissaye dans ses Contes d’Eutrapel (ch. v, de la Goutte). Il donne à son héros le nom de Glaume Esnaut de Tremeril. — L.

« … Comme l’on dit de la femme de Glaume Truant, de Tremerel, laquelle, sur le point de mourir, voiant le bonhomme Glaume monté à la bonne foy sur sa Chambrière, reprint ses esprits en disant : « Ha, meschant, je ne suis pas encore si bas comme tu pensois. Merci Dieu, madame la truande, vous irez dehors tout à ceste heure. » Éd. Guichard, p. 170 ; Éd. Assezat, I, 280. L’édition des Contes d’Eutrapel, de 1585, offre précisément le même nom : « A Rennes, pour Noël Glame, de Quimper-Corentin. » Il s’ensuivrait qu’il ne faudrait pas prendre Truant comme un nom propre. – M.

Page 247, ligne 7. — Éd. de 1558 : « nommé Bruribandier ». — L.

Page 312, lignes 11-3 & 17-22. — Ici le Ms. 7576a cherche à imiter le langage du mari en ces termes : « … Je pelz ma povle