Page:Marguerites françaises.djvu/162

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hommes, mes affections n’en seront pas de mesme.

Les paroles obligent aux effets, et les effets sont les debteurs des promesses.

Je ne sçay quel vent de perfidie à emporté ces beaux discours, qui m’annonçoient une foy inviolable.

Les paroles que je me croyois les plus vives, me fussent mortes en la bouche.

Ne faites parade de paroles à l’endroit du vulgaire : mais bien de belles actions, qui en procedent.