Page:Marguerites françaises.djvu/236

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

suffisance.

La fortune a executé sur moy des choses incomprehensibles, en la pensee de ceux qu’elle favorise.

Ce sont les braves cœurs, qui endurent les grandes fortunes.

Les faveurs de la fortune ne sont pas des presens : mes des appasts.

Nul ne doit refuser la fortune que tous les autres endurent.

La fortune n’a pas les mains longues, elle ne touche que ceux qui s’en approchent.