Page:Marguerites françaises.djvu/318

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odieux.

Ce ne sont pas mes opinions qui vous gratifient, mais c’est la verité qui m’oblige de croire de vous ce qu’un chacun admire.

Voyez perfection, merites, vertu.

Mal.

Je ne ressens point de mal que le vostre, car le mien se pert dans ma constance.

On ne se soucie ordinairement du mal qui est loin, et l’aprehension ne s’en esmeut qu’à mesure qu’il est proche.