Page:Marguerites françaises.djvu/324

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ction qui n’a fin qu’en son commencement.

La resolution avec les plus fermes effets de la constance se verroit abbatue par l’effort de tant de malheurs et de disgraces, qui m’environnent.

Il n’y a rien plus asseuré en ce monde, sinon que toutes choses y sont mal asseurées.

Quand Dieu lasche la bride à nos malheurs, et permet qu’ils nous attaquent, la prevoyance humaine est inutile aux humaines.

Je suis abandonné de tout le monde, fors de mes mal-