Page:Marguerites françaises.djvu/336

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se laisser vaincre à la pitié de leurs miseres.

Lors que le jugement faisoit faire place aux inquietudes trop violentes, je me plaignois dolentement de ma miserable fortune.

Mort.

La mort nous suit pas à pas, et par mer, et par terre, elle s’embarque avec nous, monte en croupe derriere nous, et ne nous laisse non plus que nostre ombre.

C’est la mort qui tranche en un moment le fil de nos