Page:Marguerites françaises.djvu/363

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devoir, ne s’oblige à personne.

Je vous offre de garder la souvenance de ceste obligation eternellement vive en ma memoire.

Manquer à ce que je vous doy, ce seroit faillir à ce que j’ay promis à ma constance.

Cela m’oblige à le recognoistre, et fait naistre des desirs, pour m’en acquiter.

Les hommes ne sont obligez à donner, ni demander plus que le possible.

Ceste obligation est trop grande pour ma puissance.

Je vous serois plus obligé,