Page:Marguerites françaises.djvu/419

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d’amour, pour les faire accourir à ce qui peut apporter quelque remede à leurs passions.

La belle Flore revenoit en nos rives Françoises, et restablissant son diapré Empire, nous faisoit voir sa face esmaillee.

Lors que la temperature de l’air, l’odeur et suavité des herbes, et semblables autres amorces semblent renouueller la chaleur des humains, à peu pres assoupie, par la vehemence d’une hyvernale froidure.

C’estoit en la saison du