Page:Marguerites françaises.djvu/459

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

tant de tesmoignage de vostre devotion, que ne le croire, ce seroit apporter du doute à la verité.

Je vous en remercie plus avec le cœur, qu’avec la plume.

Ce m’est plaisir de voir croistre de jour en jour l’obligation que je vous ay, car plus je vous suis tenu et plus je pense gaigner.

Vous estes trop liberal de vos vœux, et prodigue d’honnesteté, pour une creature envers laquelle le Ciel a esté si avare de ses dons.

Tant plus je vous suis obli-