Page:Marguerites françaises.djvu/476

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Quelqu’un moins aggreable que moy occupera vostre cœur, et glorieux de se voir recerché de vous, bravera vostre langueur, et vous fera essayer les traverses, que indignement vous me faites sentir.

Je prie le Ciel, qu’il accomplisse vos souhaits, et qu’il me tienne pour jamais delivré des chaines de toutes les infidelles et ingrattes qui vous ressemblent.

Je ne sçay plus quels efforts de patience opposer à mon ennuy : veu que vous seule (de qui doit naistre mon