Page:Marguerites françaises.djvu/513

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Sovvenance.

Si quelque estincelle de nos anciennes flammes, volle encores à l’entour de vostre memoire, souvenez vous de vostre fidelle.

Donnez moy quelques preuves de vostre souvenir, pour me rendre sociable à la patience, et consoler mes yeux en la perte qu’ils ont fait des vostres.

Mon affection meritoit bien que je fusse gratifiée de quelque effet de vostre souvenance.

Ce seroit un erreur, de croi-