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Page:Marino - Les Vrais Plaisirs, 1748.djvu/12

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LES

VRAIS PLAISIRS.



JEunes Cœurs, qui brûlez des feux de l’Amour, vous dont les déſirs s’enflâment avec tant de rapidité, c’eſt pour vous que j’écris, c’eſt pour vous que je chante. Les ſons de ma Lyre ne peuvent réjouir la triſte vieilleſſe, qui, pour ſon bonheur même, doit refuſer ſes regards à des peintures, pour elle inutiles, quelque