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Page:Martin du Gard - Le Pénitencier.djvu/200

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rer ; sans aucun désespoir : non, il pleurait d’épuisement surtout, et aussi, à cause de la chambre, des violettes, de cette main que son père avait posée sur sa tête, des attentions d’Antoine, de cette vie nouvelle et inconnue ; il pleurait parce qu’on semblait de toutes parts vouloir l’aimer ; parce qu’on allait maintenant s’occuper de lui, et lui parler, et lui sourire ; parce qu’il faudrait répondre à tous, parce que c’en était fini pour lui d’être tranquille.