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Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 2.djvu/139

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Tel fut le papier que le portier me remit de temps à autre par fragmens. J’avalai le premier envoi et je trouvai moyen de détruire les autres à mesure que je les recevais. Le soin de l’infirmerie dont j’étais toujours chargé me procurait beaucoup d’indulgence.

L’Espagnol en était là de sa narration quand Melmoth s’aperçut qu’il était singulièrement agité, mais plus encore par l’émotion que par la fatigue. Il l’engagea à se reposer pendant quelque temps et l’étranger n’eut pas de peine à y consentir.