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Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 2.djvu/68

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chambre, en cet instant, était pleine de roses et d’œillets.)

« Vous devez aussi le remercier du talent qu’il vous a accordé de chanter ses louanges. Votre voix à l’église est la plus pure et la plus ferme. »

— « Je n’en doute pas. »

— « Mon frère, vous répondez au hasard. »

— « Précisément comme je sens ; mais n’y faites pas attention. »

— « Voulez-vous faire un tour au jardin ? »

— « Si cela vous plaît. »

— « Ou bien voulez-vous chercher de la consolation en causant un moment avec le supérieur ? »

— « Je ne demande pas mieux. »