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Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 2.djvu/94

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La lune donnait assez de lumière pour que je pusse lire. Je commençai donc, pendant qu’une espérance vague, qui n’avait ni base ni objet, faisait palpiter mon cœur. Voici ce que contenait ce papier. Quoique je le détruisisse après l’avoir lu, ainsi qu’on me l’avait recommandé, il fit tant d’impression sur moi, que je trouvai moyen, quelque temps après, de le récrire tout entier de mémoire.