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moiron

Je lui demandai :

– Vous n’avez plus rien à dire ?

– Non, monsieur.

— Alors, adieu.

– Adieu, Monsieur, un jour ou l’autre…

Je me tournai vers le prêtre, livide et dressant contre le mur sa haute silhouette sombre :

– Vous restez, monsieur l’abbé ?

– Je reste.

Alors le moribond ricana :

– Oui, oui, il envoie ses corbeaux sur les cadavres.

Moi, j’en avais assez ; j’ouvris la porte et je me sauvai.