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mont-oriol

— Monsieur Oriol, je viens causer affaires avec vous. Je n’irai pas d’ailleurs par quatre chemins pour m’expliquer. Voici. Vous avez découvert tantôt une source dans votre vigne. L’analyse de cette
eau sera faite dans quelques jours. Si elle ne vaut rien, je me retire, bien entendu ; si, au contraire, elle donne ce que j’espère, je vous propose d’acheter cette pièce de terre et toutes celles qui l’entourent.

Pensez à ceci. Personne autre que moi ne pourra faire ce que je vous offre là, personne ! L’ancienne Société touche à la faillite, elle n’aura donc pas l’idée de bâtir un nouvel établissement et l’insuccès de cette entreprise n’encouragera pas de nouvelles tentatives.

Ne me répondez rien aujourd’hui, consultez votre