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mettre au courant de la situation douloureuse où il se trouve, où nous nous trouvons tous.
MADAME DE RONCHARD.
Enfin ! nous allons savoir quelque chose !
MARTINEL.
Par une lettre que vous allez lire, nous avons appris ce soir, chez vous, une nouvelle foudroyante. Une femme dont vous connaissez tous l’existence était à l’heure de mourir.
MADAME DE RONCHARD.
Oh ! je l’avais bien prédit, qu’il s’agirait d’elle.
LÉON.
Laissez-le parler, ma tante.
MADAME DE RONCHARD.
Et maintenant qu’elle l’a vu, comment va-t-elle, votre mourante ? Mieux, sans doute ?
MARTINEL, simplement.
Elle est morte, madame, morte devant lui.
MADAME DE RONCHARD.
Juste ce soir ! C’est impossible !
MARTINEL.
Cela est pourtant, madame.