mer,… peu à peu… Vous m’avez coupé les vivres quand j’allais m’y faire.
Grand merci. Et vous venez, peut-être, me proposer une nouvelle épreuve ?
Oh ! quand il vous plaira. Vrai, quand on se marie après avoir vécu comme moi, on ne peut s’empêcher de regarder d’abord un peu sa femme comme une nouvelle maîtresse, une maîtresse honnête,… ce n’est que plus tard qu’on comprend bien, qu’on distingue bien, et qu’on se repent.
Eh bien ! mon cher, il est trop tard. Comme je vous l’ai dit, je cherche de mon côté. J’ai mis trois ans à m’y décider. Vous avouerez que c’est long. Il me faut quelqu’un de bien, de mieux que vous… C’est un compliment que je vous fais et vous n’avez pas l’air de le remarquer.
Madeleine, cette plaisanterie est déplacée.
Mais non, car je suppose que toutes vos maîtresses étaient mieux que moi, puisque vous les avez préférées à moi.