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Page:Maupertuis - Essai de cosmologie, 1750.djvu/70

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quels le mouvement d’un corps paſſe dans un autre à leur rencontre mutuelle : je ne cherche pas même à ſuivre le phyſique de ce Phénomène auſſi loin que le pourroient permettre les foibles lumières de mon Eſprit & les connoiſſances dans la Méchanique qu’on a acquiſes de nos jours : je m’attache à un principe plus grand, plus élevé, & le plus intereſſant dans cette recherche.

Les Philoſophes qui ont mis la cauſe du mouvement en Dieu, n’y ont été reduits que parce qu’ils ne ſavoient où la