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Page:Maupertuis - Essai de cosmologie, 1750.djvu/89

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tité abſolue de cette force ſe conſerveroit toûjours, & pourroit toûjours reproduire les mêmes effets. Mais pour cela il faudroit qu’il n’y eût dans la Nature que des corps élaſtiques : il faudroit en exclure les corps durs ; c’eſt à dire en exclure les ſeuls peut-être qui y ſoient.

Nôtre principe plus conforme aux idées que nous devons avoir des choſes, laiſſe le monde dans le beſoin continuel de la puiſſance du Créateur ; & eſt une ſuite néceſſaire de l’emploi le plus ſage de cette puiſſance.

Les loix du mouvement & du