Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
314
LE ROI VIERGE
Gloriane Gloriani ne répondit pas. Elle souriait seulement ; elle pensait à ce pauvre petit roi, si timide et si pur, dont elle allait s’emparer, elle, si terrible ! Ce serait singulier. Un enfant ! Elle souriait toujours, en prenant à pleines mains ses lourds cheveux fauves d’où sortait une forte odeur de fourrure et de chair.
FIN DU LIVRE DEUXIÈME.