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Page:Mendès - Le Roi Vierge - 1881 (leroiviergeroma00mendgoog).djvu/322

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LE ROI VIERGE

Gloriane Gloriani ne répondit pas. Elle souriait seulement ; elle pensait à ce pauvre petit roi, si timide et si pur, dont elle allait s’emparer, elle, si terrible ! Ce serait singulier. Un enfant ! Elle souriait toujours, en prenant à pleines mains ses lourds cheveux fauves d’où sortait une forte odeur de fourrure et de chair.

FIN DU LIVRE DEUXIÈME.