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Page:Meslon - Petite pervertie.djvu/85

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CHAPITRE IX

J’avais accepté sans difficulté d’unir ma destinée à celle de Monsieur Maxwell. J’étais bien seule. Grâce à lui, j’allais être riche, considérée, peut-être heureuse. Je pourrais aider ma mère, ma petite sœur.

Je payais ma dette de reconnaissance. Il avait été si bon.