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Page:Metivet, Jean-qui-lit et Snobinet, 1909.djvu/101

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Et cet autre lointain ancêtre (pareil d’ailleurs aux Océaniens de certaines îles où la civilisation vraiment n’a pas fait beaucoup de progrès), coiffé d’un oiseau aux ailes éployées, avec son manteau de peaux de bêtes et ses colliers de cailloux brillants, ressemble curieusement à quelque mondaine en grand tralala de promenade, au mois de décembre, dans les allées du bois de Boulogne.