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Page:Metivet, Jean-qui-lit et Snobinet, 1909.djvu/103

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Voici les nobles chevaliers bardés de fer.

Et, c’est très comique de découvrir que sous les armures de jadis, à gros mollets, à ventres considérables, sous ces lourdes carapaces de gigantesques langoustes, se cachaient parfois des guerriers à cuisses de héron et à taille de guêpe.