Page:Metivet, Jean-qui-lit et Snobinet, 1909.djvu/94

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dans un théâtre où les décors étaient remplacés par des rangées de pupitres. Les musiciens ont joué des morceaux

longs, longs ; il est venu des dames avec un cahier à la main, elles étaient souriantes en saluant les spectateurs, mais dès qu’elles se sont mises à chanter elles ont pris des figures de martyres en levant les yeux au plafond.