Page:Metivet, Jean-qui-lit et Snobinet, 1909.djvu/98

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sans savoir de quoi il est question, ou un bon dilettante si l’on a du goût et du savoir, si l’on admire quand on comprend.

Moi, je veux tâcher de comprendre beaucoup de choses pour me procurer le plaisir véritable d’en admirer beaucoup sans dire de bêtises ou réciter les opinions des autres.

Et toi, puisque tu te proposes, plus tard, de faire figure de connaisseur aux expositions de peinture et dans les salles de concert, tu vas, je pense, travailler un peu le dessin et étudier régulièrement ton piano.

SNOBINET

Hélas ! mon vieux Jean… je n’aime pas ça.