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Page:Mirecourt - Paul de Kock.djvu/70

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sans que le vaudevilliste ait eu le temps de revenir de sa stupeur.

Il ramasse le billet du romancier, le lit à son tour et comprend tout.

Paul de Kock, écrivant d’une part et dictant de l’autre, a mêlé dans sa précipitation le menu du repas à ses excuses.

Afin de ne plus être tourmenté par les chattes noires ou blanches, notre héros se maria.

Sa vie, dès ce moment, fut moins dissipée et plus laborieuse. Les baptêmes arrivaient tous les neuf mois ; il admira la fécondité de son hymen et se piqua d’émulation.

Plus sa femme lui donnait d’enfants, plus il écrivait de livres.