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Page:Mirecourt - Samson, 1854.djvu/12

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On me prend trop cher, beaucoup trop cher. Douze ccnts francs, miséricorde ! pour trois modestes insertions dans les journaux, et quand un de ces journaux se nomme la Presse, quand il doit toucher quatre cents francs pour sa part ? Merci !

Nous connaissons les rubriques.

Il est avec les agents d’annonces une multitude d’accommodements. On n’est pas juif à ce point. Quels bourreaux ! Priez-les de nous écorcher un peu moins, cher hôte.

Douze cents francs ? Cent écus, monsieur Purgon, s’il vous plaît !

Que la rédaction de la Presse gagne de l’argent à la Bourse, rien de plus juste, rien de plus honnête. Qu’elle bâtisse des