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— Casimir et moi nous te les ferons.
— Alors, sois de la pièce.
— Non, j’ai assez du théâtre[1]. Tu aurais, du reste, grand tort d’avoir des scrupules. Il y a toujours un magasin de rimes à ton service. Exploite-le sans gêne.
Scribe ne se fit pas répéter deux fois l’invitation.
Casimir et Germain Delavigne lui vinrent très-généreusement en aide pour la facture des couplets de la Garde nationale. Ainsi les vers suivants, arrangés sur la Valse du Havre, sont dus à la muse qui a dicté le drame de Louis XI.
- ↑ Il ne reprit que six ans plus tard sa collaboration avec Scribe, dans le Colonel et dans le Mariage enfantin, deux comédies-vaudevilles jouées au Gymnase.
