Page:Moke - Le Gueux de Mer ou La Belgique sous le Duc d'Albe, sd.djvu/146

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Des fantassins espagnols et italiens formaient de nombreuses patrouilles… (P. 143.)

À travers ces rues désertes et au milieu de ces soldats on voyait passer de respectables ecclésiastiques qui allaient consoler les prisonniers, secourir les malades, et porter les derniers sacrements aux moribonds. À aucune époque la mortalité n’avait été aussi grande, quoique la ville eût perdu les deux tiers