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Page:Momas - Association de demi-vierges, tome 1.djvu/103

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— Partons, ma Balbyne, nous parlerons dans la rue. Il ne faut pas nous mettre en retard, car vos parents peut-être bien me gronderaient.

— Oh, mes parents, ils me laissent bien libre, surtout avec vous, et ce n’est pas eux qui nous contrarieraient ! Et mademoiselle de la Garinière ?

— Elle vous verra un autre jour. Nous viendrons maintenant chez elle, très souvent.

— Oh oui, souvent, souvent.

— Yes, yes, mademoiselle de la Garinière, la belle Aimée, elle a reçu une visite pour elle ! Aoh yes, elle aussi, le grand directeur, l’abbé Tisse.

— Il était là ?

— Il voulait savoir comment ça se passerait pour vous.

— Ah !

— Aimée lui a dit : très bien très bien, et ils sont allés dans la petite cour chercher le soleil.

— Qu’est-ce que vous me dites ?

— Yes, la petite cave, le cul, le soleil, le plaisir.