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Page:Momas - Association de demi-vierges, tome 2.djvu/112

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placez-moi, je vais souhaiter un bonjour à la nouvelle de là-bas.

— L’amie de Simone ! je n’avais pas remarqué, une belle blonde.

— Elle a des yeux canailles.

— Vous distinguez déjà ça, Lemollard.

— Oh, je m’y connais, et j’y suis bien obligé avec ces fripouilles de garcettes ! tenez, regardez-moi cette galopine, la plus petite, là, et qui est la plus âgée de la classe, elle vous guigne et étale ses deux cuisses.

— Ah oui, oui, c’était entendu. Allons-y, Mesdemoiselles je vais achever votre leçon de gymnastique, par les exercices des bras, placez-vous en ligne.

— Vive Séroulan.

Lemollard libre, vint s’incliner devant Balbyne et porta la main sur sa poitrine.

— Il te demande le priekage, lui dit Simone, accepte en faisant le salut qu’on t’a appris chez mademoiselle de la Garinière, soulève les jupes par devant jusqu’aux genoux.

— Oui, je comprenais, répondit Balbyne s’exécutant.