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Page:Monneron - Poésies, 1852.djvu/102

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Dors bien, jeune ouvrier… Dans la nuit souterraine
L’avenir te prépare un éternel printemps.
Adieu, l’air est encor frais et bleu dans la plaine ;
Mais les anges du ciel t’aimeront plus longtemps.


1836.