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Page:Monneron - Poésies, 1852.djvu/169

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NOTES.



Nous avons trouvé pour cette dernière partie deux versions très-différentes. Celle que nous avons rejetée, quoiqu’inférieure en général, renferme de beaux vers. Nous regrettons surtout le second de la dernière strophe :

« Les croix dont Dieu sema les hauteurs désolées. »


On nous pardonnera sans doute d’avoir donné cette poésie sous ces deux formes. Ce qui nous y a déterminé, c’est la conclusion, qui est également belle dans les deux. Nous ne pouvions nous résoudre à sacrifier ni l’une ni l’autre.

La première version se trouve dans le plus grand nombre des autographes et des copies ; la seconde est celle qu’a publiée la Revue Suisse en 1838.


Nous avons retranché ici une vingtaine de vers dont nous n’avons trouvé que des leçons très-incomplètes et très-diverses. L’auteur y met en scène quelques-uns des esprits qui donnent leur opinion sur la meilleure manière d’attirer le poète dans le val.