Le père. — Mes chers enfants, je vous unis ; allons nous livrer à la joie.
Joséphin prend un bonnet de coton des mains de son père et s’en couvre la tête. — Ô sacré flambeau du genre, étouffe-toi sous l’éteignoir ! »
Cette fin a été imitée très-visiblement dans Jérôme Paturot.
Le même journal ayant publié César Birotteau, un des chefs-d’œuvre de Balzac, Édouard Ourliac eut l’honneur d’écrire pour ce roman une préface qui ne ressemble à aucune préface connue. C’est de cet épisode sans doute qu’il faut dater la liaison de ces deux hommes, qui ont plusieurs points de contact dans le talent. Lorsque Balzac fut saisi tout à coup d’une fantaisie de collaboration, principalement en vue du théâtre, il songea d’abord à Édouard Ourliac. Le deuxième acte de Vautrin passe pour être presque en entier de ce dernier.
Les occasions de se produire ne lui man-