290 — B, Ce est.
291 — B, feroit.
292 — B, cil ot.
293 — B, grant duel et.
294 — B, ne li osa dire.
La version de ce fabliau, ci-dessus imprimée, dont l’auteur est Guérin, était jusqu’ici inédite, bien qu’elle ait inspiré la traduction de Legrand d’Aussy. Nous réimprimerons, dans le prochain volume l’autre version, déjà éditée par Méon. Outre quelques imitations lointaines de cette histoire au moyen âge, nous trouvons dans les Contes secrets russes (voy. p. 334-335) la mention d’un moujik paresseux et battu par sa femme déguisée en soldat. Imbert a remis ce conte en vers.
A. — Paris, Bibl. nat., Mss. fr. 887, fol. 829 vo à 331 ro.
B. — » » » 1635, fol. 60 ro à 62 ro.
Publié par Barbazan, I, 122 ; par Méon, III, 76-86 ; par Ach. Jubinal, Œuvres complètes de Rutebeuf, 2e éd., 63-77, et donné en extrait par Legrand d’Aussy, III, 380-383.
Vers 3 — A, Et il en a les dras.
13 — A, A grant dolor.
17 — flabel. A, ditié.
19 — A, Que l’en.
26 — A, a fet.
29 — B, peires.
31 — A, s’entramerent.
32 — A, et la.