Aller au contenu

Page:Montesquieu - Le Temple de Gnide, 1824.djvu/68

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le dieu sourit à Ariane ; il la mena dans le sanctuaire. La joie s’empara de nos cœurs : nous sentîmes une émotion divine. Saisis des égaremens de Silène et des transports des Bacchantes, nous prîmes un thyrse, et nous nous mêlâmes dans les danses et dans les concerts.