Aller au contenu

Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/271

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
253
de l’esprit des Lois.

quences que l’on pourroit tirer de ses principes : quoiqu’il ait très-peu d’ingulgence, on en veut avoir pour lui. Je dis seulement que les idées métaphysiques sont extrêmement confuses dans sa tête ; qu’il n’a point du tout la faculté de séparer ; qu’il ne sauroit porter de bons jugemens, parce que, parmi les diverses choses qu’il faut voir, il n’en voit jamais qu’une. Et cela même, je ne le dis pas pour lui faire des reproches, mais pour détruire les siens.