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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/353

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DES MATIERES.

I. 263. Sa situation vers le milieu du regne de Louis XIV, contribua à la grandeur relative de la France, 272. Inconvénient d’un usage qui se pratique dans ses dietes, I. 318. Quelle sorte d’esclavage y est établi, II. 76. Ses mines sont utiles, parce qu’elles ne sont pas abondantes, II. 359. Pourquoi les fiefs y ont plus long-temps conservé leur constitution primitive qu’en France, IV, 199, 200. L’empire y est resté électif, parce qu’il a conservé la nature des anciens fiefs, IV. 294.

Allemands. Les lois avoient établi un tarif pour régler, chez eux, les punitions des différentes insultes que l’on pouvoit faire aux femmes, II. 56, 57. Ils tenoient toujours leurs esclabes armés, & cherchoient à leur élever le courage, II. 82, 83. Quand & par qui leurs lois furent rédigées, III. 265, 266. Simplicité de leurs lois : causes de cette simplicité, III. 266, 267. Leurs lois criminelles étoient faites sur le même plan que les lois ripuaires, III. 298. Voyez Ripuaires.

Alleus. Comment furent changés en fiefs, IV. 133 & suiv. 184 & suiv.

Alliances. L’argent que les princes emploient pour en acheter est presque toujours perdu, II. 24.

Allié. Ce qu’on appelloit ainsi à Rome, III. 60.

Allodiales. (Terres). Leur origine, IV. 47.

Ambassadeurs. Ne sont soumis ni aux lois, ni au prince du pays où ils sont : comment leurs fautes doivent être punies, III. 234, 235.

Ambition. Est fort utile dans une monarchie, I. 50, 51. Celle des corps d’un état ne prouve pas toujours la corruption des membres, III. 392.

Arme. Il est également utile ou pernicieux à la société civile, de la croire mortelle ou immortelle, suivant les différentes conséquences que chaque secte tire de ses principes à ce sujet, III. 150, 151. Le dogme de son immortalité se divise en trois branches, III. 152.

Amendement des jugemens. Ce que c’étoit : par qui cette procédure fut établie : à quoi fut substituée, III. 358, 359/

Amendes. Les seigneurs en payoient autrefois une de soixante livres, quand les sentences de leurs juges