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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/522

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TABLE

l’on perdit toutes les lois auxquelles on substitua les coutumes, III. 292. Pourquoi persécutoient sur-tout, les prêtres & les moines, IV. 141, 142. Terminerent les querelles que le clergé faisoit aux rois & au peuple pour son temporel, IV. 149 ; 180. Charles le chauve, qui auroit pu les détruire, les laissa aller pour de l’argent, IV. 175, 176. Pourquoi dévasterent la France, & non pas l’Allemagne, IV. 200, 201. Leurs ravages ont fait passer la couronne sur la tête de Hugues Capet, qui pouvoit seul la défendre, IV. 203, 204.

Notoriété de fait. Suffisoit autrefois, sans autre preuve ni procédure, pour asseoir un jugement, III. 332.

Novelles de Justinien. Sont trop diffuses, III. 428.

Nouvelles ecclésiastiques. Les imputations dont elles cherchent à noircir l’auteur de l’esprit des lois, sont des calomnies atroces. Preuves sans replique, D. 221 & suiv.

Nouvelliste ecclésiastique. N’entend jamais le sens des choses, D. 228, 229. Méthode singuliere dont il se sert, pour s’autoriser à dire des invectives à l’auteur, D. 244. Jugemens & raisonnemens absurdes & ridicules de cet écrivain, D. 249 & suiv. Quoiqu’il n’ait d’indulgence pour personne, l’auteur en a beaucoup pour lui, D. 252, 253. Pourquoi a déclamé contre l’esprit des lois, qui a l’approbation de toute l’Europe ; & comment il s’y est pris pour déclamer ainsi, D. 254 & suiv. Sa mauvaise foi, D. 260 & suiv. Sa stupidité ou sa mauvaise foi, dans les reproches qu’il fait à l’auteur, touchant la polygamie, ibid. Veut que dans un livre de jurisprudence on ne parle que de théologie, D. 279. Imputation stupide ou méchante de cet écrivain, D. 281, 282. Juste appréciation de ses talens & de son ouvrage, D. 299 ; 302. Sa critique sur l’esprit des lois est pernicieuse ; pleine d’ignorance, de passion, d’inattention, d’orgueil, d’aigreur : n’est ni travaillée, ni réfléchie : est inutile, dangereuse, calomnieuse, contraire à la charité chrétienne, même aux vertus simplement humaines : pleine d’injures atroces, pleine de ces emportemens que les gens du monde ne se per-