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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/529

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DES MATIÈRES.

une preuve que pour rendre un peuple industrieux il faut le surcharger d’impôts ? II. 3, 4. Effets funestes de celle d’un pays, II. 4. Celle des peuples peut avoir deux causes : Leurs différens effets, II. 241, 242. C’est une absurdité de dire qu’elle est favorable à la propagation, III. 77. Ne vient pas du défaut de propriété, mais du défaut de travail, III. 119.

Pays de droit écrit. Pourquoi les coutumes n’ont pu y prévaloir sur les lois romaines, III. 292. Révolutions que les lois romaines y ont essuyées, III. 296, 297.

Pays formés par l’industrie des hommes. La liberté y convient, II. 145, 146.

Paysans. Lorsqu’ils sont à leur aise, la nature du gouvernement leur est indifférentes, II. 139 & suiv.

Péché originel. L’auteur étoit-il obligé d’en parler dans son chapitre premier ? D. 239.

Péculat. Ce crime est naturel dans les états despotiques, I. 131. La peine dont on le punit à Rome, quand il y parut, prouve que les lois suivent les mœurs, II. 214, 215.

Pédaliens. N’avoient point de prêtres, & étoient barbares, III. 169.

Pédanterie. Seroit-il bon d’en introduire l’esprit en France ? II. 191.

Pégu. Comment les successions y sont réglées, I. 124. Un roi de ce pays pensa étouffer de rire en apprenant qu’il n’y avoit point de roi à Venise, II. 186, 187. Les points principaux de la religion de ses habitans sont la pratique des principales vertus morales, & la tolérance de toutes les autres religions, III. 135.

Peine de mort. Dans quel cas est juste, II. 387, 388.

Peine du talion. Dérive d’une loi antérieure aux lois positives, I. 4.

Peines. Doivent être plus ou moins séveres, suivant la nature des gouvernemens, I. 166 & suiv. Augmentent ou diminuent dans un état, à mesure qu’on s’approche ou qu’on s’éloigne de la liberté, I. 167. Tout ce que la loi appelle peine, dans un état modéré, en est une : exemple singulier, I. 168,